Soft skills, kézako ?

Soft skills, kézako ?

Pour les curieux !

Soft skills, kézako ?

Les soft skills KEZAKO ?

Je vais reprendre la définition de Jérôme HOARAU auprès de qui je me suis formée pour devenir praticienne et que je trouve simple et pertinente.

Les soft skills sont des compétences comportementales humaines (non délégables à un robot), transversales et non techniques (contrairement aux hard skills qui sont techniques et nécessaires dans le cadre de notre activité professionnelle). Bonne nouvelle : les soft skills sont accessibles à tous, donc pas besoin de diplômes !

Les soft skills sont-elles innées ?

Oui, nous naissons tous avec le même potentiel.
Ensuite, nous les développons à travers nos expériences de vie par de la pratique sportive, intellectuelle, professionnelle, associative.
J’aime bien comparer les soft skills à une table de mixage. A notre naissance, tous les boutons sont en bas et ensuite ils montent en fonction de ce que nous vivons. Ce qui va faire la différence, c’est la répétition et la conscientisation.

Les soft skills ne s’attribuent pas en fonction de l’âge mais en fonction de notre vécu. Moi, qui personnellement ai beaucoup de mal avec la patience, un jeune qui pratique les arts martiaux sera certainement mieux armé que moi sur cette compétence. D’où l’intérêt de bien se connaître pour être capable de les valoriser dans sa recherche d’emploi comme ce sont des compétences transversales.

Les soft skills sont-elles recherchées en entreprise ?

OUI !
Le monde du travail est en pleine mutation : la digitalisation, la mondialisation, certains métiers n’existent pas encore, la durée de vie des compétences se réduit, donc dans cet environnement complexe et changeant c’est grâce au capital humain que les entreprises vont faire la différence.

Il est donc aujourd’hui primordial que chacun identifie et développe ses soft skills pour mieux appréhender les changements.

Ces compétences ne sont pas seulement importantes pour les individus, elles sont également essentielles en entreprise car elles contribuent de manière significative à la réussite professionnelle, à la collaboration efficace et à la création d’un environnement de travail positif.

Des exemples de soft skills

en entreprise

une communication efficace, l’esprit d’équipe, la résolution de problèmes, l’esprit critique, l’adaptabilité, la gestion du temps, l’intelligence émotionnelle, le leadership, la créativité, la gestion du stress…

En résumé

Les soft skills ne sont pas simplement un bonus sur un CV, mais une véritable clé du succès professionnel. Elles créent le socle fondamental sur lequel repose une collaboration fructueuse, un environnement de travail harmonieux, des équipes plus performantes et des entreprises plus agiles.

Alors, n’oublions pas de cultiver ces compétences humaines précieuses qui nous permettent de briller autant que nos compétences techniques !

Merci pour l’attention portée sur cet article.

Laëtitia EYQUEM | Fil Rouge Formations

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Venez explorer vos compétences comportementales et transversales et

apprenez à les mettre en avant dans vos futurs entretiens de recrutement.

Apprendre, un jeu d’enfant

Apprendre, un jeu d’enfant

Pour les curieux !

Apprendre, un jeu d’enfant ?

apprendre en jouant pour favoriser l’Ancrage

Le jeu est une activité humaine universelle, mais aussi un besoin qui apparaît chez les enfants dès leur plus jeune âge.

Alors selon vous, apprendre, est-ce un jeu d’enfant ?

Dans notre enfance

Les enfants ont besoin de jouer et nous les y encourageons. S’ils jouent, ce n’est pas seulement pour se détendre. Cependant, c’est aussi un moyen de découverte et d’apprentissage du monde qui les entoure. « Cela leur permet d’apprendre les règles, d’adopter la bonne attitude lorsqu’ils gagnent ou qu’ils perdent, d’élaborer des stratégies, de développer leur sens de l’analyse et leur mémoire… »

À l’adolescence

Lorsque l’enfant grandit, c’est là que cela se complique. Plus il grandit et plus il commence à avoir des obligations considérées comme plus sérieuses, plus importantes.

À l’âge adulte

Jouer à l’âge adulte est souvent perçu comme une activité peu productive, voire inutile, s’opposant à la conception de travail. Néanmoins, le plaisir de jouer serait en contradiction avec l’effort nécessaire pour apprendre.

Et pourtant, dans une perspective de psychologie positive et d’humanisme, jouer est considéré comme l’une des meilleures stratégies d’apprentissage.

De ce fait, il existe de nombreux types de jeux qui nous apportent des bienfaits importants : jeux de société, jeux de rôle, jeux d’actions, jeux de stratégie….

A quoi peut bien servir le jeu à l’âge adulte ?

Dès que l’adulte joue, il sort de son cadre d’apprentissage traditionnel. Il lâche prise car on n’attend plus de lui des réponses rapides et exactes. Il peut ainsi libérer sa créativité.

C’est pourquoi le jeu est souvent utilisé par les sociétés destinées à développer cette compétence, comme les agences de publicité, mais pas seulement !

De plus en plus d’entreprises font appel à des facilitateurs pour faire travailler leurs équipes sur des sujets qui, une fois transposés dans le jeu, trouvent plus facilement des solutions, des propositions ce qui permet d’aborder les choses sous un angle différent.

De ce fait, le bénéfice se ressent aussi bien pour l’individu que pour le collectif. Chaque membre d’une équipe « planchant » sur un projet commun se sert de sa propre expérience pour la mettre au service du collectif et permet de faire grandir le groupe, on parle alors d’intelligence collective.

Pour conclure

La pédagogie du learning by doing qui consiste à apprendre en faisant, immerge l’apprenant dans des cas pratiques, comme le jeu de rôle par exemple, en lui permettant de se confronter à des situations afin de mieux se connaître. Cette technique développe l’envie d’apprendre, facilite la mémorisation de la formation, permet aux acquis de devenir plus rapidement opérationnels et favorise l’ancrage.

Merci pour l’attention portée sur cet article.

Laëtitia EYQUEM | Fil Rouge Formations

Crédits Photos :

Et si on apprenait en s’amusant ?

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QVT, le virage à prendre

QVT, le virage à prendre

Pour les curieux !

Prenez le virage de la Qualité de Vie au Travail !

Alors, pour les curieux ! Et si vous preniez le virage de la Qualité de Vie au Travail !

Quel est le risque ?

À savoir que les entreprises devront prendre ce virage pour ne pas se retrouver sur le bord de la route en termes d’organisation, de management, de recrutement, de marque employeur …

Pour ma part, j’ai 45 ans et je fais partie de la génération X. Même si je ne raffole pas des cases et des classifications puisque je prône la complémentarité intergénérationnelle, je vais quand même y faire référence dans mon article pour bien comprendre le cheminement de chacune.

 

Le monde du travail change et avec lui, la façon de manager

En effet, les nouvelles générations font bouger les lignes car là, où nous (les X et les baby-boomers) étions jusqu’à présent dans un rapport de reconnaissance sans limite au point de tout accepter de la part de l’entreprise qui nous engageait, les « Y » et « Z » semblent beaucoup plus exigeants et demandent en retour à l’entreprise de leur apporter bien plus qu’un simple boulot : un équilibre vie pro/vie perso, du sens, de l’autonomie, de la reconnaissance, de la confiance…

Au début, cette attitude a été prise pour du « je-m’en-foutisme, du manque d’engagement, de la fainéantise … »

L’ouverture de conscience

Puis, ce changement a amené les autres générations à se questionner ! Souvent poussées à bout, à force de tout accepter, malmenées ou victimes de burn, bore ou brown out, elles prennent petit à petit conscience qu’elles ne veulent plus que leur vie ne se résume qu’à leur travail. 

Les points d’amélioration

Toujours imprégnées par leurs vieux schémas, il est encore difficile pour les générations X ou celles d’avant de prendre les devants pour changer d’environnement de travail, mais la prise de conscience et la réflexion sont en marche.

Parfois perdues dans des orientations qui n’étaient pas forcément les leurs, elles se retrouvent à réfléchir sur elles-mêmes, à entrevoir l’avenir différemment, d’où l’explosion du développement personnel, des orientations coaching, des créations d’entreprises et des reconversions !!!!!

  • Qu’est-ce que je souhaite réellement ?
  • Qu’est-ce qui a du sens pour moi ?

Toutes ces questions que nous ne nous étions jamais posées et qui viennent prendre tout leur sens dans cette période de changement.

Ces générations aspirent désormais à retrouver de la sérénité et à connaître un autre type de management que le pyramidal patriarcal ancestral.

Dans l’entreprise !

Ces changements se ressentent dans les entreprises comme des frémissements à la base de la pyramide managériale.

Les nouvelles technologies, les datas, l’intelligence artificielle ne pourront pas être évitées, « l’humain », son intelligence émotionnelle, relationnelle et ses softs skills deviennent donc des facteurs indispensables pour interagir dans cette nouvelle ère.

L’objectif

Va être de remettre l’humain au cœur des organisations.

Le changement peut faire peur, mais il permet d’évoluer. On se demande par quel bout commencer ? Comment démarrer ? On peut se sentir découragé par la montagne qui nous semble infranchissable, mais chaque pas est une avancée et bon nombre d’actions peuvent permettre de progresser : libérer la parole, écouter les collaborateurs, améliorer la communication interne, redonner du sens, de la confiance et de l’autonomie, créer des groupes de travail, réfléchir à une vision commune afin d’entrevoir l’avenir différemment pour amorcer ce virage dans les meilleures conditions.

Mais attention, quelle que soit la taille de votre entreprise, il est indispensable que la démarche vienne de la hiérarchie qui, convaincue de son intérêt, répandra ce vent de QVT sur toute la société.

Comme l’a dit Richard Branson :

« Si vous prenez soin de vos employés,

ils prendront soin de votre entreprise. »

En conclusion

Demandez-vous :

  • Combien vous coûtent chaque année les arrêts maladie, les jours d’absence, les processus de recrutements liés au turnover ?
  • Qui, mieux que vos employés, peut témoigner du plaisir de venir travailler dans votre entreprise ?

Rappelez-vous :

  • Un salarié heureux est 2 fois moins malade, 6 fois moins absent, 9 fois plus loyal, 31% plus productif, 55% plus créatif.
  • Un collaborateur qui se sent bien dans son poste est forcément plus motivé, plus performant et deviendra votre meilleur ambassadeur.

Alors n’hésitez plus et adoptez dès à présent une démarche de Qualité de Vie au Travail dont vous ne verrez que les bénéfices !

Merci pour le temps accordé à cette lecture.

Laëtitia EYQUEM | Fil Rouge Formations

Crédit Dessins : http://dessins-rapaport.com

Ensemble construisons votre vision de demain !

Vous souhaitez amorcer ce virage sereinement. Fil Rouge Formations est à votre écoute, pour vous accompagner, avec son réseau de professionnels, dans votre transition, pour mettre en place des actions de cohésion et d’inclusion d’équipes, d’intelligence collective, pour des conseils en organisation, communication interne et management participatif, ainsi que sur du coaching individuel, contactez-moi.